Et oui, 5 « muzungus » (le blanc, en langue locale) à vélo, casqués et par dessus tout avec un vélo accroché à l’arrière d’un autre vélo, ça fait office de « bizarerie » aux yeux des ougandais. Éclats de rire accompagnés de salutations amicales nous donnent du courage lors de nos sorties vélo. On en a bien besoin vu le profil accidenté de la région.